La Table du Baltimore
« Baltimore (16e): retour brutal à Paris »
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Le cadre cossu du Baltimoire
Retour brutal à Paris. Juillet est le mois du bouclage effréné du Pudlo Paris – la 21e édition ! -, qui paraîtra fin octobre chez Michel Lafon. C’est le moment de récapituler les bonnes pioches. Et les mauvaises. Voilà l’expérience du Baltimore qui me revient en mémoire, celle d’une table étoilée chez Michelin, confinée dans ses certitudes. Le lieu avec ses boiseries et banquettes, est cossu, le service plutôt alerte, les mets mitonné par le chef Jean-Philippe Pérol guère convaincants.
Cet ancien du Pré Catelan me paraît marquer le pas avec des mets qui semblent uniformément manquer de goût, de saveur, de précision. Terrine de cèpes franchement sèche (comme les chaussettes de l’archi-duchesse), triangle de dorade sur polenta simplement banale et minestrone de fruits exotiques sans relief aucun ne cassent pas trois pattes à un canard. Le tourteau en verrine avec sa gelée de pomme ou le ris de veau meunière avec sa trévise braisée sont carrément ennuyeux. Le bon point de la maison ? La cave riche en jolis flacons tenue avec maestria par le sommelier Jean-Luc Jamrozik.
Une amélioration depuis plus deux ans à la Table du Baltimore, nous avons retrouvé les plats dont le guide Michelin avait couronné le restaurant. Une belle carte des vins avec un service attentif.
Cher Stéphane,
Si vous aviez lu attentivement mon commentaire, cela vous aurait évité le vôtre.
Celui-ci ne portait que sur la FORME de la critique de Monsieur Pudlowski et non pas sur le FONDS, ayant la modestie de ne pas me prendre pour un critique gastronomique car n’ayant aucune expertise en la matière.
Etoile perdue pour la table de Baltimore , Monsieur Pudlowsky était dans le vrai avec sa critique !!!!
Cher critique,
J’apprécie votre réponse et continuerai ainsi à vous lire.
Régis de Merlis
@Régis de Merlis :
Pudlo (et les autres critiques) a tout à fait le droit de ne pas être d’accord avec les autres.
Il n’a pas apprécié la cuisine du chef mais est relativement positif sur le reste.
Dommage qu’il n’y ait pas eu de photos pour nous permettre de voir si la fadeur était également visuelle!
Merci de vos conseils, qui, plus d’un an et demi après cette critique et ce « post », nous permettrons, je n’en doute pas, de faire mieux dans le sens de la modestie et de l’objectivité. Et merci de nous lire si attentivement!
Cher critique
Je suis consterné par vos commentaires dont je ne prends connaissance qu’aujourd’hui.
Je suis toujours très dubitatif devant quelqu’un qui veut avoir raison devant tout le monde. En effet, de toute les critiques et/ou commentaires que j’ai pu lire concernant Jean-Philipe Pérol, qu’ils viennent de vos confrères (Michelin, Gault-et-Millaut …, sans parler des étrangers ni des clients, vous êtes le seul à « descendre » ce Chef.
Je ne porte pas de jugement sur le fonds de votre analyse, c’est votre droit de critique. En revanche, sur la forme, quand le mépris le dispute à l’humiliation, le crédit de l’auteur s’évanouit.
Un peu de modestie, cher Monsieur, et d’objectivité redonneront, peut-être, du crédit à vos commentaires.
Régis de Merlis
tu pars quand à Saverne ?