Mimosa
« Paris 8e : quel Mimosa ! »
Une rénovation magistrale (celle de l’Hôtel de la Marine), une table de grand style avec son haut plafond, son bar-lounge à l’entrée, sa vaste terrasse sur la cour, sa décoration stylisée et soignée, plus la carte, la cuisine, le « concept » imaginés par Jean-François Piège, qui démontre là sa maîtrise, avec son chef exécutif sur place, le jeune Thomas Rossi, plus une équipe nombreuse, y compris son coin desserte/cuisine apparente, sous les armoires à viande réfrigérée : voilà, brièvement résumé, ce qui vous attend là sous le nom de Mimosa.
Jean-François Piège, qui a de la suite dans les idées, connaît son Escoffier par coeur et a publié lui-même un « grand livre de la cuisine française« , donne ici toutes ses versions de l’oeuf mimosa, « nature », au homard (délicieux), à la poutargue, au tarama, livre ses classiques de la tendance du moment, comme le ceviche de daurade, faisant le plein d’épices, présenté dans sa grande assiette en forme de poisson, plus le classique tout court, joliment revisité comme le foie gras en terrine cuit sur le grill flanqué de figues au four.
On n’oublie pas au passage les beignets de légumes à la niçoise aux câpres selon la recette initiée jadis par les Giusti à la Merenda. On salue encore le poisson de la pêche du jour (un loup de Méditerranée) cuit à l’écaille au four à bois avec son fenouil fondant, son émulsion au citron de Menton. On est bluffé littéralement par un plat apparemment simple et, en fait, très raffiné, avec ce mariage de la boulette de viande épicée à la tomate cuite au four, d’un coeur de burrata et de basilic.
La carte des vins est immense, diserte sur tous les vignobles, avec quelques pépites du côté de la vallée du Rhône, comme le crozes-hermitage au joli nez de violette de Laurent Combier. Le service est vite complice. Les garnitures, parfois comptées en sus, sont exquises, comme les fines pommes allumettes ou les légumes « retour du jardin sur la braise ». Enfin, on ne fait pas l’impasse sur les desserts qui constituent ici une partie forte.
On raffole des cornets de glace Riviera (pistache, vanille), pannettone et agrumes façon pudding avec sa glace fleur d’oranger, meringue cuite four à bois flanquée de son fromage fouetté et de fruits rouges, sans omettre les gourmands beignets chouchous façon churros, avec caramel et glace vanille à tomber par terre. Les tarifs sont élevés, certes, mais le talent, le grand talent est là, avec l’exigence du produit au « top ». Voilà un événement parisien appelé à durer.
Bcp de points forts (cuisine, accueil, gaieté du lieu), fortement dépréciés par la musique trop forte, que malgré 3 demandes répétées, n’a pas diminué d’un dB et d’un service bizarre (amuse bouche servit après l’entrée) et carte des vins trop chère
Déception sur tout
Apéro au bar il faut attendre 25 minutes, les 5 serveurs discutent entre eux alors qu’il n’y a que 3 tables de 4 …………
Au restaurant le maître d’hôtel si on peut l’appeler ainsi … parle à peine français et ne connaît pas ses plats ……le vin il vaut mieux se servir et pas attendre …… et dans l’assiette très très moyen surtout pour le prix
Enfin mieux vaut oublier
Qualité des plats très bonne. Décor séduisant.
Service brouillon, mal maitrisé. Convivialité absente. Nous avons réservé pour 3 personnes, on nous a donné une table pour 2 avec un siège sur l’allée pour le 3ème convive qui a été bousculé pendant tout le repas par des serveurs indifférents. Aucune prise en compte de nos remarques.
Expérience étrange d’avoir bien mangé, mais comme dans un restaurant d’autoroute … L’impératif de productivité, lorsqu’il est trop visible par le client, devient irritant.
Au Mimosa, La Méditerranée est bien dans l’assiette mais pas dans l’accueil.
CAUCHEMAR EN CUISINE.Le grand theatre pour la réa:obligation d’arrivée à 12h30 alors que le restaurant était à moitié vide!!erreur dans l’entrée puis entrée tiède (beignets de légumes) Epaule d’agneau trop grasse et servie hachée!!! Café demandé avec le dessert et dessert servi15minutes après!!! Courant d’air glacé. A FUIR ABSOLUMENT DR CAZALS
Pourquoi la réservation est-elle aussi compliquée ?
Pourquoi doit-on se faire engueuler à l’accueil quand on arrive ?
– Vous êtes quatre
– Non, j’ai toujours écrit 3 personnes
– Mais vous avez dit 4 ce matin quand on vous a téléphoné pour confirmation
– Non, j’ai simplement répondu que je confirmais ma venue.
Résultat, comme pour être puni, on vous colle une petite chaise en osier au bout d’une table pour 2 !
Pourquoi les oeufs mimosa sont-ils moins bons que sur le comptoir de n’importe quel bistrot parisien ?
Pourquoi le service n’est-il pas digne d’un grand restaurant ?
Pourquoi la facture, injustifiée, est-elle aussi salée ?
Parce que nous sommes des gogos et que vous auriez tort de ne pas en profiter. Mais je ne reviendrai plus.
Dommage, le décor est super…mais ça, vous n’y êtes pour rien !
Déception totale au niveau gastronomique et un personnel non qualifié, pour terminer par une addition beaucoup trop salée. La réservation pratiquement impossible , des horaires stricts à respecter, une attente de la bouteille de vin blanc (devant rafraichir) pour savourer le foie gras déjà servi à table, des petites portions de légumes à 8 euros !!! pour compléter le plat principal, des desserts sans surprise, et pour clore un expresso à 6 euros, sans choix de sucres divers, ni petit accompagnement gourmand .
Ce restaurant est un ….Piège !!!