Les Fenêtres à l'Intercontinental Marseille Hôtel-Dieu
« Marseille : le bon coût des Fenêtres »
C’est la bonne table relaxe de l’Intercontinental Marseille. Le bon coût de Lionel Lévy, le chef étoilé de l’Alcyone, dont une partie de l’équipe, dont son second Cédric Méry, s’active ici avec rigueur. Le décor de brasserie chic fait bel effet avec ses luminaires en demi-lune, le service s’active avec gentillesse, le choix de vins est malicieux, comme avec ce superbe bandol rouge du domaine Peracci, d’un fruité sans faille.
Et côté mets, on se fait fête avec la pissaladière aux sardines et anchois, le pressé de foie gras avec sa compotée de figues au vinaigre, l’oeuf poché avec sa brandade de morue « mantecato » à la vénitienne, ses chips de polenta, sa vinaigrette au beurre noisette, le risotto aux giroles, la lotte à la pulpe de chou au café ou encore la volaille d’Alice aux champignons et ses pommes grenailles.
On y ajoute de bien jolis desserts, comme la pomme confite sans sucre avec sa brioche perdue, sa crème glacée au caramel salé ou l’amusant Aix-Marseille au parfum de navette à fleur d’oranger, sa crème de calisson. De quoi se donner envie de prendre ici pension.