Bo Nohal
« Mon repas ouvrier à Pituah »
Bo Nohal, l'enseigne © GP
Mais non, Pituah n’est pas le Beverley Hills de Tel Aviv. La preuve? A deux pas des belles demeures avec piscine et jardin, près de la mer, ce café ouvrier offre sa terrasse sur une place marchande. Le nom de l’enseigne – Bo Nohal signifie « Mangeons » – et le programme maison, estampillé casher, est fidèle à cette profession de foi brève. Il y a le kebab tournant qui délivrant une chawarma de dinde gentillette (et forcément un peu fade), d’honnêtes brochettes de viandes, de fraîches salades, la coleslaw avec sa mayonnaise légère, le houmous dans les règles, le taboulé bien fait, quoiqu’un peu gras.
Le cuisinier au travail © GP
En vedette, le délicieux « malawach », ce pain fin genre crêpe frite d’origine yéménite, qui cousine avec les « m’semmen » marocains, qui peuvent se goûter en sandwich, farci de tomate et de viande, ou nature. Simple et délicieux pour un déjeuner de soleil.
Homous, taboulé, chawarma © GP
Malawach © GP
