Le Stan au Grand Hôtel de la Reine
« Nancy: Fréchin arrive au Stan ! »
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Patrick Fréchin © Maurice Rougemont
Branle-bas de combat au Grand Hôtel de Reine : rénovation des chambres, création d’une brasserie de luxe dans l’ex-table étoilée (le Stan) et d’un gastro, dans l’ancien bar côté opéra, le tout prévu pour octobre. Mais le Stan c’est pour tout de suite, ou, si l’on préfère, la semaine prochaine. Aux commandes: Patrick Fréchin venu du Grenier à Sel arrive avec le titre de directeur de la restauration et toutes ses belles idées gourmandes et étoilées.
Au programme, le mille-feuille de foie gras au pain d’épice, effeuillé de haddock à l’œuf poché à 65 °, poisson sauvage proposé de bouche à oreille au gré de l’arrivage ou quasi de veau en cuisson douce avec son risotto crémeux aux girolles devraient ramener ici la grande foule des gourmets nancéens dispersés dans les tables environnantes. En dessert, l’abricot de Nancy rôti avec sa soupe à la bière lorraine son sorbet à l’amande, sa brioche en pain perdu, jouera la note régionale avec malice.
Bonjour
la rénovation et les travaux de remise en état de l »‘Hôtel de la reine »
ont particulièrement affecté le service de cuisine et la régulation thermique des plats qui arrivaient tièdes en salle le samedi 17 12 2011
Informé dès les entrées Maître Frechin n’a pas daigné prendre en considération ces observations pour des coquilles St jacques tiédies basse et longue cuisson à 28 euros
de ce fait aussi le riz de veau(32 euros) qui suivait était de l’ordre d’un canapé sans bouchée de la reine
et le duo de st pierre et thon d’un monologue consternant à 34 euros
Le bio dynamique Croze-Hermitage blanc mérite une mention
pour agrémenter la note à 190 euros pour 2 convives sans desserts
nous reviendrons pour un déjeuner VRP en semaine dans l’espoir de découvrir une assiette digne du patrimoine culinaire ébauché dans le grenier à sel
Richard kondolff
ancien de la maison Choley
Trés déçue non pas par la qualité de la cuisine, encore que nous attendions, mon mari et moi, une petite touche épicée supplémentaire, MAIS
– rien pour accompagner l’apéritif
– surprise de découvrir des tâches sur la nappe lorsque les assiettes ont été soulevées
– un plat principal trés attirant au visuel jusqu’au moment de trouver un cheveu en goûtant un légume et, aprés retour de l’assiette en cuisine sans aucune excuse, constater un nouveau dressage mais le même morceau de légume entamé remis sur l’assiette.
Quel dommage vu la qualité de la cuisine !