Restaurant Daniel Desavie
« Daniel Desavie: un rayon de soleil à Valbonne »
Un article plus récent sur le même sujet est disponible sur notre site, vous pouvez le retrouver en cliquant ici
La dernière trouvaille de notre correspondant de la côte d’Azur, Alain Angenost: la belle table de Daniel Desavie à Valbonne. Ecoutons-le.
Daniel Desavie, ex-lieutenant de Roger Vergé avec qui il est demeuré 23 ans, fut dans son ombre à l’Amandier, comme au Moulin de Mougins. Et l’on peut dire que ça vous forme un chef. Après tout ce temps passé auprès de son maitre, il ouvrit un bistrot à Valbonne, Sophia-Antipolis étant voisine, mais la clientèle enthousiaste le força à monter en gamme. Et son bistrot, petit à petit, devint gastro. Chantal, son épouse, se décidant alors à quitter Delta Airlines pour superviser efficacement le service de salle, apportant son professionnalisme et son sourire.
C’est dans un cadre provençal et moderne, sans ostentation avec deux salles, l’une climatisée, l’autre, en terrasse abritée, idéale pour un diner aux chandelles, que les Desavie régalent leurs clients reçus en amis. Ils ne font pas de bruit, ils veulent juste bien faire ce qu’ils savent faire. Daniel cuisine le marché avec bonheur, tandis que Chantal joue l’accueil chaleureux, prenant soin de chaque détail, comme si elle recevait à la maison. Quant à Thierry Bellinger, le directeur de salle, précédemment à Dubaï, et Émilie, malicieuse sommelière, de bonne humeur et de bon conseil, ils contribuent à faire passer un bon moment sans anicroche.
Ce qu’on goûte ici? Une bourgeoise palette de petits farcis de Provence au parfum de basilic, une fleur de courgette farcie d’une royale de poisson et coulis de crustacés aux gambas, un impeccable filet de Saint-Pierre rôti sur fricassée de cèpes au jus de viande acidulé, un coquelet rôti en barbouille sur pomme purée et légumes de Provence. Enfin un fringant dessert: le tout café avec glace café, Arlette croustillante, crème brûlée et cappuccino « qui se mange ». Au terme du repas agile, on se dit que si Chantal a trouvé l’homme de sa vie, le gourmet, lui, est heureux d’être tombé sur le Daniel Desavie.
Un tel tissu de mensonge n’a pas sa place dans votre blog Mr…ce commentaire est une honte pour la gastronomie française…oser raconter de telles sornettes sur l’une des meilleures tables de la région…merci de réparer cela au plus vite sous peine de perdre toute crédibilité aux yeux de beaucoup…
Je viens de découvrir cette publication de 2012 qui est une véritable honte
Nous sommes clients du restaurant de Daniel Desavie depuis plus de 13 ans
La qualité apportée à chacun de ses plats est remarquable du début à la fin du repas
Je ne m’explique pas ce commentaire qui semble être plutôt un règlement de compte d’un concurrent car ce qui est décrit ne reflète en rien la réalité
Ces appréciations diffamatoires devraient être enlevées de ce site
La conclusion: C’est médiocre.
Pour ceux à qui on n’a pas recommandé ou vanté le lieu, c’est davantage quelconque que médiocre.
Aucune originalité évidemment dans le menu dégustation. On doit constater un niveau culinaire qui est celui de la ménagère qui cuisine correctement.
La présentation de chaque plat faite par le personnel de salle de chaque se limite à 4 mots insuffisants qui n’expriment en rien la particularité de ce qui est servi. Et pour cause, aucune particularité. « Du foutage de gueule » a t-on entendu à la table d’à-côté.
Que sert-on en fait ? deux mises-en-bouches de cantine qui gagneraient assurément à être supprimées du menu. En réalité, le menu à 59 euros serait probablement correct en supprimant les deux premières mises-en-bouche inutiles. Le tout à 39 euros serait honnête.
On peut penser que le chef était absent ce soir là !
Selon toute vraisemblance, cela expliquerait la qualité de la prestation de ce jour. Le sommelier est bizarrement vêtu avec quelques inscriptions très « jeun’z » au dos de son polo inapproprié à sa fonction. Le personnel de salle sert les jeunes filles avant les dames, sert et dessert de droite et de gauche, laisse davantage trois gouttes qu’une seule tacher la nappe à chaque fois qu’il remplit les verres.
Le burger est digne d’un menu dégustation mais pour les enfants. La spécialité de la maison est réellement bonne mais survient à la suite d’un duo de décevantes mises-en-bouches si basiques qu’on croit les produits directement sortis du plastiques du supermarché. La soupe de tomate Picard et les billes de mozzarella sont aussi bonnes que lorqu’on les sort de nos réfrigérateurs.
« Les desserts sont ceux qu’on retrouvent dans les restaurants marocains qui cherchent à faire du français » se moque-t-on à l’autre table. « On comprend que le chef refuse sa première étoile ! » rit-on.
La maîtresse de maison est elle impeccable, expérimentée, professionnelle et agréable. L’établissement tient probablement en bonne partie sur les compétences de cette dame qui sauve la soirée en soignant notre sortie. Pour l’entrée de soirée c’est totalement planté par la médiocrité des entrée. Le cœur du repas subit le préjudice irrécupérable de l’entame digne de la ménagère moyenne.
Les tables nous entourant nous renvoient la même impression, mais force est de constater que personne n’ose la moindre remarque à la charmante maîtresse des lieux. Son époux peut la remercier de la seconder, pardon de l’épauler ou de le soutenir.
On regrette de ne pas oser donner nos impressions à cette dame charmante de crainte qu’on la blesse.
Il faut avoir bien des qualités cachées pour tenir à ce train là. Le commis d’un grand chef n’est pas forcément un bon chef.