La soupe du berger © GP
Il est le seul « restaurant » ouvert à Paris ces temps-ci. On met le « restaurant » entre guillemets, car il s’agit d’un club privé dans un lieu réservable pour deux, quatre, six personnes, où l’on l’on déjeune et dîne sous les photos souvenirs, celles des « nuits blanches » de Saint-Tropez, celles de Claude Angeli ressuscitant Johnny et les […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.