Chez Bonnebouche
« Saint-Jean-d’Estissac : le bon coût des Chevallereau »
C’était la maison des parents de son épouse, dont le grand-père portait le joli patronyme de Bonnebouche. Raphaël Chevallereau, breton voyageur, natif de Saint-Nazaire, qui travailla jadis avec Jacques Thorel à l’île d’Arz, a posé ses valises au cœur du Périgord pourpre, dans un recoin de campagne sylvestre, après s’être beaucoup promené. Au Japon, en Angleterre et ailleurs. Son épouse Marie-Hélène, le relaye en salle, tandis que leur fille Camille, jeune apprentie de 17 ans, le supplée en cuisine notamment au chapitre des desserts.
Ils proposent là un incroyable menu du déjeuner, qui, pour 16,50 €, offrait, c’est le mot, l’autre midi, soupe de potiron, l’œuf cocotte aux champignons et châtaignes, le hachis de veau à la libanaise aux épices et sa joie semoule façon couscous, enfin le chou aux pommes confites et crème diplomate. Un cadeau. Quelques jolis vins d’ici, comme le rouge épicé du château les Jandis de Joël Lacotte qui se marie fort bien avec cette cuisine voyageuse.
Il y a encore le menu du soir à l’ardoise, avec la trappe d’Echourgnac voisine, servie fondue avec l’oeuf poché, la fraîcheur de chèvre au saumon fumé, la daurade aux poivrons, chorizo, fondue de fenouil, comme le magret de canard au miel et gingembre. Et, en dessert, on peut craquer pour l’omelette norvégienne flambée individuelle.
Un accueil remarquable , cuisine trés raffinée . A découvrir
Comme toujours charmant accueil
Cuisine de terroir à déguster avec grand plaisir dès la vue du plat
Et après c’est un régal…
Tout nous donne envie de revenir vite…
Donc à très bientôt
resto a découvrir coute que coute. tj surpris et fraiment délicieux pour un prix ressonnable. Je le cote a 10/10