Bar grillé © GP
Un grand café rajeuni, débarrassé de son faux cadre 1900 signé Pierre Pothier et qui constituait un « Maxim’s pour budgets moyens« , avec son allure néo années 1970, ses tons rouges, son plafond métallique façon Courrèges, ses banquettes, son beau et ses mosaïques au sol, le tout griffé par le duo d’architectes Toro et Liautard : […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.