Kassakis
« Galatas : l’art du lard selon Kassakis »
Article du 4 octobre 2018
Il soigne ses fumures aux résineux comme en Forêt Noire, bichonne ses saucisses (pareillement fumées), son lard crétois, ses filets de cochon (fumé également) traditionnels qui font la joie des tavernes typiques des grands environs, mais aussi un pastrami (évidemment de boeuf) joliment épicé et poivré qui pourrait convenir aux meilleurs « délis », se sert du moût de raisin local réduit en gelée, si typique, comme condiment.
Dans sa ferme montagnarde, non loin de la mer, Manolis Kassakis accueille avec le sourie, raconte avec emphase, fait goûter, démontre. Et on ne se lasse pas de l’écouter.