Sail Fish Café
« Cap-Ferret : le bonheur du Sail Fish Café »
Quand on quitte Arcachon, sa jetée, sa foule plein centre et son animation populaire et populeuse, la découverte du Cap Ferret agit comme un coup de fouet. Le miracle de cette presqu’île qui est celui de la décontraction chaleureuse et de la gourmandise sans œillère se dévoile fort bien au Sail Fish Café.
Il y a toujours le Sail Fish à la pointe, depuis 1984, qui fait restaurant de nuit. Il y a désormais ce QG relax qui se veut « beach food bar » en anglais dans le texte, proposant une cuisine fusion malicieuse, un décor dans les tons bleutés évoquant une taverne grecque revue californienne ou caribéenne, avec une carte de mets en accord.
On tombe amoureux du lieu en goûtant la belle assiette de mezzé avec taboulé, houmous, caviar d’aubergine, bricks de chèvre à la menthe. Mais il y aussi le fish & chips sauce tartare, le satay de poulet au riz thaï, les pappardelle au ragoût de jarret de veau et de boeuf, plus cette pavlova aux fraises avec sa crème fouettée de mascarpone aromatisée au citron qui fait craquer tous les gourmands de sucré.
En voilà assez pour se donner envie de prendre de durables habitudes dans ce lieu créé par Greg de Lépinay, qu’on connut rue de la Porte de la Monnaie, au Musée d’Art Contemporain ainsi qu’au Grand Théâtre à Bordeaux, et possède cinq établissements au Cap Ferret. Excellent accueil de ses jeunes associés, Sophie et Guillaume Vollet.
Très mauvaise expérience,
Personnel désagréable et suffisant
Dîner de piètre qualité
A 46e la pièce de bœuf c’est clairement abusé
A fuir!
Je trouve moyen que d’entrée de jeu vous qualifiez la population d’Arcachon de populaire et populeuse quand nous, les autochtones, savons combien aujourd’hui le Ferret est pollué d’artifices et de parisianisme . Décontraction chaleureuse……..? Je sais à Arcachon des lieux privilégiés et sauvages, nature, loin de l’infernal snobisme d’en face. Je n’ai jamais mangé dans ce lieu au nom anglo-americain,et autre beach food bar…… je ne doute pas de l’excellence, connaissant votre gourmandise. Mais de grâce, ne persévėrez pas dans ces avis teintés d’un certain mepris condescendant, c’est décevant