Lorho
« Strasbourg: les bons fromages de Cyrille Lohro »
La façade © GP
Breton de Saint-Nazaire, immigré à St-Dié-des-Vosges, rallié à l’Alsace depuis belle lurette, Cyrille Lorho est devenu l’une des stars de son métier en devenant le premier MOF alsacien (en 2007) de son registre. Relayé par son épouse Christelle, il fait de sa chic boutique au cœur de la gourmande rue des Orfèvres le temple du bon fromage sous toutes formes. Le seul reproche à lui faire est de ne pas être souvent là pour répandre la bonne parole fermière, répondre aux uns, conseiller les autres. Car ses caves d’affinage se trouvent toujours dans les Vosges et les chemins des alpages et des belles ferme requièrent du temps. Reste qu’un personnel enthousiaste fait goûter les jolies pâtes de cet affineur hors classe. L’achat d’un comté commence par la dégustation d’une jolie pièce de douze, puis de quatorze, puis de 24 mois. Un munster issu d’une ferme du col du Bonhomme, côtoie les meilleurs gruyères suisses, le vacherin fribourgeois, une tomme du Val de Bagne comme un Etivaz du pays d’en haut. Le crémeux beurre maison vaut également l’emplette.
Pâtes montagnardes © GP
Bonjour
Gros problèmeS. Et aucune réponse à un mail de la part de m. LORHO.
Thomas Schaeffer
06 35 39 70 49
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De : Thomas Schaeffer
Date : 21 janvier 2018 21h01
À : contact@maison-lorho.fr
Cc :
Objet : Problèmes qualitatif/gustatif fromage à raclette / pb achat en boutique
Monsieur Lorho,
Nous avons acheté samedi, dans votre boutique de Strasbourg, du fromage à raclette : 1 kg reparti entre la version à pâte crue et celle fumée, en sollicitant une répartition respectivement 2/3 (principalement pour nos 3 enfants) et 1/3.
La vendeuse nous informait que le fromage fumé présentait quelques infimes traces vertes en confirmant que cela était sans aucun impact sur le goût.
En voulant le servir le soir même, tel ne fut pas le cas : la présence verte était très présente (cf photo) mais surtout le goût était très prononcé en se rapprochant de celui de la fourme, primant sur le « fumé » tel que nous le connaissions, qui avait de fait complètement disparu en bouche.
Nous avons de ce fait été fort déçu. Le problème étant connu, son effet sur le goût aurait pu faire l’objet d’une information claire et complète.
Nous n’avons jamais rencontré un tel problème au cours de toutes nos années de fidélité à votre boutique.
Autre problème relevé concernant cet achat : il a du y avoir une inversion dans la pesée car la raclette au lait cru (0.555 kg) a été facturée sous la nomenclature et au prix de la fumée (0.440 kg) et inversement ; cela aboutit à un différentiel en notre défaveur.
Cette double peine est source de déception. C’est pour cela que je me permets de vous écrire et de comprendre comme cela a pu se produire.
Dans l’attente
Restant à votre disposition pour toutes précisions,
Bien cordialement
Thomas Schaeffer