Blakes, le salon © GP
C’est un Londres qui n’a pas changé depuis la reine Victoria, avec ses ruelles anciennes, ses boutiques d’antiquaires, ses maisons basses, ses jardins clos, ses musées, ses demeures victoriennes ou géorgiennes, ses façades néo grecques à colonnades, ses mews colorés, ses pubs comme avant. Au cimetière de Kensington jadis, on enterrait les chiens, un livre […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.