Christian
« Strasbourg: Christian, roi sucré »
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Le roi de la pâte feuilletée légère, du chocolat au café, du Madagascar, du Vietnam, de l’Haïti, et autre délicieux chocolat à boire, de la couronne à la frangipane, du vin chaud tradition, de la bûche grand style, de l’entremet glacé, de la tarte aux fruits, du streussel à la cannelle et aux pommes, du strudel, comme du croissant et du pain au chocolat extra fin, de la visitandine, du kougelhopf, de la lunette au flan, du sorbet au fromage blanc: c’est Christian. Roi sucré de Strasbourg, Christian Meyer fête les 50 de sa demeure créée, eh oui, en 1960. Il est relayé en beauté par le fiston Christophe qui occupe le labo du deuxième étage. Leur demeure est une ruche. A Noël, on s’active pour faire plaisir à tous, confectionner les bûches, élaborer les vacherins glacés. La tradition donne la main à la modernité.
On vient pour les fêtes, redécouvrir le beau salon de la rue de l’Outre, faire des emplette de pain d’épices (au cassis: un délice), d’anisbredele, de mille-feuille, de torches aux marrons ou d’entremets à la crème mousseline. La surprise chez cette star de l’orfèvrerie sucrée: des prix tout ce qu’il y a de plus raisonnable: on vient là prendre la pause thé et goûter des gâteaux (à partir de 2 € l’éclair au salon). Bref, voilà une maison pour tous, où l’accueil est en progrès. Où il est bon de se faire fête en douceur. Christian, le père, roi des pâtisseries et des brioches, Christophe, le fils, artiste chocolatier (on lui doit une chope à la bière de grande mémoire) et glacier grand style: à deux, ils expliquent l’esprit créatif d’une maison au sommet de son registre.
Pâtisseries trės bonnes cependant vendeuses pas du tout aimable et cela ne donne pas envie d’y retourner!!! dommage pour l’image de marque et cela donne une mauvaise image des Alsaciens!!!!! Espère que cela va changer!!
pour ce qui est de la marchandise on va dire ok avec qques réserves
côté amabilité des vendeuses c’est la cata mais vraiment : pas souriantes ou aimables pas polies
dommage mais c’est le chic des pâtisseries strasbourgeoises : il n’y en a pas une pour sauver l’autre; belle image de marque pour la « capitale de l’Europe »