La cuisinière lyonnaise
« Paris 17e: la cuisinière lyonnaise et ses amis »
Ce bistrot plus lyonnais que parisien, qui a des airs de bouchon de toujours, est le petit antre relax de quelques amis d’entre la Porte Maillot et le métro Argentine. Il y a là une place de village, un air de toujours et la proximité de l’église Saint-Ferdinand. Autant dire qu’on s’y sent vite chez soi. Stéphane Gaborieau du Pergolèse dans le 16e, sis de l’autre côté de l’avenue de la Grande Armée, est associé là avec Fabrice Brossard, qui tient la demeure et fut jadis en cuisine au Royal Evian, du temps de Michel Lentz. Mathieu Salès, ancien de Gaborieau, officie aux fourneaux.
Le cadre est rustique, charmant, plein de convivialité. Et l’on goûte des mets canailles qui ont du caractère. Fonds d’artichauts aux escargots, poireaux et oeuf mayo, chou farci de crabe et merlan, suprême de volaille pomme purée, joue de porc aux lentilles tiennent au corps, quoique sans lourdeur. La carte des vins a de la ressource (entre le morgon du château des Jacques et de jolis flacons rhodaniens signés Guigal).
Au zinc, les amis devisent verre en main. La cervelle de canut et le saucisson sec entretiennent la convivialité et l’apéro. On ne loupe pas le saint-marcellin affiné, ni le vacherin glacé aux figues. Bref, voilà un adresse nostalgique qui a du caractère.
Mr pudlovski devra revoir sa copie, dejeuner aujourd’hui
Poulet frites sans âme , risotto champignons ( pas reconnu de risotto manquait même le sel .
Habituée de brasseries parisiennes 11/12/ 20e
Ou pour un prix équivalent on mange des produits de qualité et bien préparés, surtout que de l’autre côté de la place on mange très bien , finalement ne changeons pas nos habitudes , à fuir …..
La Cuisiniere Lyonnaise une arnaque n’y allez pas !! ma quenelle n’est jamais arrivée au bout de 45 mn d’attente on me dit qu’elle viendra jamais une honte une serveuse imbuvable !!
Bonjour. Une escroquerie, il n’est pas possible que ce soit la même direction aux commandes, jugez en plutôt:
– la carte ne comporte de lyonnais que la quenelle (1 seule par plat) et la cervelle de canut, les andouillettes « n’étant pas arrivées » ce soir là
– je me suis rabattu sur 2 entrées: un gaspacho !!! et une terrine maison qui n’avait de maison et de lyonnais que le nom sur la carte
– l’accueil d’une froideur sibérienne et le départ encore pire, puisque les tables de terrasse étaient rentrées en salle alors que nous terminions notre repas (vers 22:45)
Avec un magnum de CdR a 71€ (seule bonne surprise de la soirée) et une bouteille d’eau la note fut de 51€50 par personne avec 5 entrées et 3 plats sans dessert ni café.
Bref cher, pas bon, pas lyonnais, pas sympa. A éviter à tout prix.