Sébastien Lefortier © GP
Le lieu, sur son promontoire, domine le lac, a l’allure des grandes pensions début de l’autre siècle où l’on prenait le frais, jadis, face aux montagnes et à l’eau. Les avertissements, sous plastique, indiquent qu’on peut prendre l’ascenseur ou l’escalier pour monter à la réception ou qu’il faut « libérer les chambres à onze heures« . Bref, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.