Le Moulin de Lourmarin
« Lourmarin: le moulin d’Edouard »
Le Moulin de Lourmarin? La maison où démarra l’aventure d’Edouard Loubet en Luberon, qui glana une puis deux étoiles avant de monter vers Bonnieux à Capelongue. On vous en reparlera. En attendant, cette demeure de charme, qui a gardé, vis, pressoir, olivier dans un cadre de pierres à l’ancienne, possède une grande terrasse intérieure façon patio, se dotant d’une jeune équipe motivée, jouant la modestie chantante et les formules généreuses.
Le chef du moment, le jeune Benoît Perrotin est sarthois, use parfois davantage de la crème que de l’huile d’olive, proposant aussi des saint-jacques hors saison, mais sait fait plaisir aussi avec de vraies saveurs d’ici et des mets qui épousent le marché et se délivrent au gré de l’ardoise.
Les fleurs de courgettes farcies, le risotto de gambas, le bar cuit lentement sur la peau, avec ses légumes primeurs, sa sauce coriandre, la lotte au beurre de chorizo, la souris d’agneau proposée sous cloche, avec sa fumée de thym et serpolet avec sa polenta (dans l’esprit Loubet) font bien sans manière.
On ajoute les vins locaux (Fief des vignerons de Lourmarin en rouge syrah/grenache, blanc de Constantin-Chase à Cadenet) plus cette exquis tarte dite « casse-noisette » avec praliné, caramel, mousse chocolat blanc, pâte sablée, plus une jolie boule de glace vanille, qui achève joliment en douceur. Quelques chambres douces et deux suites pour prolonger l’étape.
Nous avons eu comme amuse bouche une tapenade. Je me suis cassé une dent car il y avait un noyaux. Bien que le maitre d’hôtel soit désolé et ait pris mes coordonnées pour que la directrice m’appel pour convenir d’un dédommagement, je n’ai rien vu à ce jour. De plus, service dépolorable, lenteur et désorganisation génrale. J’ai payé l’entier de l’addition. Pas de geste, même pas les cafés offert. Cuisine passable.
super cuisine inégalable et merveilleuse.
Famille Boulbin 5 Jiuillet 2015
Super serveur avec beaucoup d’attention pour les clients.