Epices Roellinger
« Quand Olivier Roellinger monte à Paris (2e) »
Il est le cuisinier corsaire, le flibustier de Saint-Malo, roi des épices, amoureux de la baie du Mon Saint Michel, aubergiste à Saint-Méloir-des-Ondes et seigneur de Cancale. Le voilà qui monte à la capitale, mais sans délaisser ses maisons de Bricourt, ni ses entrepôts d’épices bretons.
Olivier Roellinger a trouvé son havre dans une rue vouée aux nourritures exotiques et aux voyages. Il est d’ailleurs tout voisin de « Voyageurs du Monde », avec une boutique qui est une ode aux épices, condiments et saveurs d’Orient, d’Afrique et d’Océanie.
Sa malle aux épices, sa cave à vanille (celles d’Ouganda, du Congo, de Tahiti, comme de Madagascar ou des Indes, et, bien sûr, de la Réunion et de la Grande Comore, comme du Mexique), ses poudres d’épices, savamment mixées, comme celle du Voyage (avec sésame, sumac, cannelle, thym) jouxtent ici les splendides galettes cancalaises au beurre salé, les algues, le vinaigre celtique ou les jolies infusion, comme le grog des îles. Une caverne aux trésors!
Superbe adresse récemment refaite à neuf.
Un must si vous passez dans le quartier, l’endroit est incroyable, tout y donne envie de cuisiner, voyager…
Merci pour la découverte, j’y suis allé suite à votre article, produits d’une exceptionnelle qualité, à visiter d’urgence, bravo monsieur Roellinger.
Bonjour,
J’ai suivi hier une émission à la radio au cours de laquelle Olivier Roellinger a est intervenu. J’aimerais savoir si quelqu’un pourrait me donner son adresse mail je voudrais rentrer en contact avec lui.
Cordialement,
« Les épices Roellinger » j’adore ! J’aime le personnage d’Olivier Roellinger, ce qu’il a réalisé au cours de sa vie professionnelle. Belle réussite pour le bonheur de tous, employés et clients.
La boutique parisienne, j’y emmène mes amis quand je suis de passage dans la Capitale, je sais que cette visite sera pour eux un beau moment ! J’y vais aussi pour m’y approvisionner mais je vais plus fréquemment à la maison-mère à Cancale autre magnifique « Caverne aux trésors ». Bravo M.Roellinger et merci.
je’ ne conanis pas la boutique parisienne, mais on m’a apporté des épices de St Malo et c’est divin extraordinaire
De mieux en mieux, votre orthographe …
Pour revenir à Olivier Roellinger, citer au moins les sources de vos racontars ! Et si vous aviez subit la bastonnade qui l’a laissé pour mort, vous auriez certainement beaucoup plus de respect pour cet homme, vous comprendriez qu’il ait arrêté fin 2008 d’être à ses fourneaux et vous n’écririez pas ainsi de telles inepties à son sujet. Mais la gastronomie et son histoire sont apparemment des sujets qui vous échappe.
Desole de prendre la défense de gens pour qui j’ai un petit peu de respect:
des artisans qui travaillent qui se levent tot chaque jours, qui se donnent du mal ou alors des chefs qui eux travaillent encore, qui se donnent du mal. J’ai entendu Roellinger les enfoncer, leurs manquer de respect cet homme n’est pas humble. C’est devenu un petit bourgeois de province, ses propos mon fait vomir !
C’est bien Jean Pierre ! Pauvre garçon !
Retourner à mes « Casseroles » oui, mais avec un seul « l ». Décidément, même l’orthographe n’est pas votre fort !
Les insultes ne sont pas tolérées sur ce blog…
Olivier Roellinger, un raté ? Mais qu’avez donc fait ou créé dans votre vie pour oser écrire un tel commentaire !
J’ai plutôt l’impression que le raté dans l’histoire, c’est vous !
Les insultes ne sont pas tolérées sur ce blog…
On se demande bien comment ?
Mais il faut toujours un grincheux, un rabat-joie de service pour critiquer le travail accompli par quelqu’un d’exemplaire, travail d’ailleurs que généralement l’exégète est incapable de faire.
Bonjour à tous
Je suis allé la semaine derniére dans la boutique d’épices Roellinger
l’endroit est incroyable, les poudres donnent envie de cuisiner, la decoration est authentique et inspire au voyage, les prix sont abordables…
j’aurai aimer vous dire cela mais j’en ai pensé tout l’inverse.
peu mieu faire
Bon vent au cuisinier corsaire que nous aimons tant !!
Bravo Gilles d’être passé cet après-midi dans cette très belle boutique (j’adore votre appellation « Caverne aux trésors » !) qui deviendra, nous en sommes sûrs un lieu incontournable de la gourmandise parisienne !!
Faites donc un détour par le 51 rue Sainte Anne, remplissez vos cabas (prévoyez grand on est vite tenté !!) et hop au piano ! il ne restera plus qu’à faire entrer les épices dans votre cuisine !!
P. Garbe, les Jardins de Laquenexy (57)