Le Compostelle
« Lille: l’élégance du Compostelle »
A quelques pas de la grand-place, cette belle maison Renaissance avec ses briques, ses colonnades et ses sculptures – ce fut l’hôtel de Beaurepaire, millésimé 1572 qui fut un QG de l’Ordre des Templiers – joue le service affable et les mets soignés proposés au gré de sa belle cour couverte. Le chef Christophe Nabot, lyonnais, formé jadis chez Pierre Orsi, joue une cuisine stylée modérément créative et esthétisante qui n’est pas sans charme.
Velouté d’avocat et quenelle de crabe, burger de magret fumé aux figues, ballotine de foie gras, gelée passion, crème d’arabica, pavé de saumon aux accents fumés et chou pak choï, ris de veau braisé avec réduction porto et balsamique ou encore ananas mangue et bavaroise caramel au beurre salé façon crumble charment sans mal.
Bonjour,
Nous sommes allés au Compostelle la semaine dernière. Le repas fut affligeant : aucun effort de présentation des assiettes, accompagnements déplorables, plats certainement tout droit sortis de chez Metro. Le tout à un tarif prohibitif.